Simplicissimus
C’était mon premier séjour à Berlin. Un copain qui y faisait son service militaire m’avait emmené dans ce café, le Simplicissimus, dans lequel je reviendrai souvent pour son atmosphère, ses prix et sa référence à la revue satirique allemande du début du 20° siècle.
Là, une fille essayait de lui expliquer, en allemand, qu’il fallait défendre cette infirmière qui avait tué ses patients malades, qu’il fallait signer sa pétition. Moi, j’avais décroché depuis longtemps de la conversation pour faire quelques photos et boire ma bière.